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Comment devenir un monstre
10 janvier 2011

Première impression

Vous n'avez que quelques pages de lues, mais vous désirez vous exprimer sur votre choix de lecture.  Quelle est votre première impression ?

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Commentaires
L
-x-
Z
Je ne suis même pas encore rendu à la moitié de ce livre, mais je l’adore déjà! Ce n’est pas le genre de livre où il y a beaucoup d’actions, mais la façon dont les événements sont décrits me fait ressentir énormément l’atmosphère de l’histoire. Dans ce roman, on voyage beaucoup dans le temps. On change de lieu et de temps presque dans chaque chapitre, ce qui rend l’histoire parfois difficile à comprendre. Dans les chapitres où qu’on reculait dans le temps, on se faisait transporter dans la vie d’un jeune homme, qui par divers moyens (principalement par la cuisine), essayait de gagner de l’argent. Cependant, les choses n’allaient pas très bien pour lui et il a dû faire face à plusieurs obstacles. Au début, je ne comprenais pas très bien ces chapitres là. Je ne savais pas de qui parlait ces passages, jusqu’à quand, dans une phrase, ils mentionnèrent le nom de Viktor Rosh, le meurtrier. Malgré le fait qu’il m’a fallu un peu de temps à comprendre ces passages, je trouve que ce sont ceux-ci qui rendent ce roman unique et qui le distinguent d’un roman policier ordinaire. Au lieu de donner des détails sur les meurtres, ces chapitres nous racontent la vie du tueur avant qu’il commence à tueur. De plus, en lisant cela, je deviens comme l’avocat de l’histoire. J’essaye de comprendre et de deviner la suite de la vie de Viktor Rosh, de voir comment il a pu se transformer en un monstre. J’ai été très surprise en lisant la vie de ce tueur. Rien n’était comme ce que j’avais imaginé. Il avait étudié, il faisait quelque chose qu’il aimait (malgré le fait qu’il a eu beaucoup de hauts et de bas) et il était même tombé amoureux d’une femme … une vie difficile peut-être, mais tout à fait normal! Aussi, j’aime beaucoup la petite histoire de famille de l’avocat. Il m’intrigue à cause de son côté un peu enfantin. Un passage du chapitre six le prouve : « -Je vais rentrer, j’arrive, attends-moi, je laisse tout tomber ici et j’arrive […] –Et laisser tomber ton client? Tu es un enfant François, et j’en ai déjà deux. » En lisant cette conversation avec sa femme, j’ai senti qu’il était un homme irresponsable, incapable de prendre une bonne décision tout seul. Il avait décidé de quitter la maison en sachant que sa femme était un peu fâchée. Maintenant, il pensait abandonner son travail sans raison, pour aller retrouver celle-ci. Le fait qu’il n’a pas grandit, il l’avoue lui-même, plus tard dans le chapitre six, en écrivant une lettre à sa femme. Il disait : « J’ai un souvenir si vif du plaisir que j’avais, dans le jardin de mes parents en hiver, quand je jouais à chasser le phoque, armé d’un manche à balai. Ce pourrait être moi maintenant. […] Mes âges s’accumulent sans s’additionner. » Après avoir lu cette lettre, je me suis demandé pourquoi s’attachait-il autant à son enfance. C’est pour cela que j’ai hâte de poursuivre ma lecture. Je suis impatiente d’en savoir plus sur ces deux personnages et de voir aussi comment leur relation va-t-il se développé.<br /> <br /> -ZHANG Xia, 409
C
Après avoir lu quelques pages de ce roman, j’ai l’impression que cette histoire va être bonne. En effet, ce livre raconte à la fois les péripéties de François Chevalier, un avocat qui voyage en raison de sa profession laissant sa famille derrière lui vers un pays lointain dans le but de défendre un prisonnier et de Viktor Rosh appelé aussi « Le monstre ». Il a tiré une balle dans la tête d’un homme portant un drapeau dans sa main, mais il est accusé d’avoir tué un enfant. Parfois, il n’y a pas beaucoup d’indications à propos de qui parle dans les différents chapitres. J’éprouve parfois de la difficulté à savoir qui est en train de parler. Finalement, j’espère bien que les prochains chapitres vont être plus clairs et aussi un peu plus de suspense.
S
En général, j’aime bien les romans qui utilisent l’outil « retour dans le passé » tout au long de leur histoire. Heureusement, jusqu’à présent, mon livre a su combler mon attente avec son troisième chapitre. Effectivement, celui-ci raconte le cheminement antérieur de Viktor passant de son travail de plongeur dans un petit restaurant à celui de cuisinier pour des bûcherons. De plus, entre temps, ce jeune homme ayant étudié en cuisine a réussi à faire fortune suite à l’ouverture d’un petit business de hot-dogs et ce, grâce à la surprise que son patron lui avait faite. Sinon, mise à part le chapitre dont je viens de parler, l’histoire est toujours à la hauteur de mes expectations avec l’intense mystère entourant le Monstre (qui ne veut pas parler) que François (narrateur) essaie de percer. Bref, j’espère que la suite du roman saura autant me divertir que le début avec l’utilisation de maintes séquences se référant au passé de Viktor dans le but de mieux comprendre les raisons de sa condamnation.
N
Ma première impression à propos de ce roman est plutôt bonne. En effet, je considère l’originale séparation des chapitres comme un point fort de cet ouvrage parce qu’elle nous permet de suivre le passé du détenu et l’enquête de l’avocat simultanément. De plus, cette œuvre littéraire est intéressante parce que l’auteur traite de différents aspects tels que l’amour et la guerre, tout en étalant l’histoire de la même façon qu’un roman policier. Ainsi, en développant l’intrigue petit à petit, Jean Barbe nous amène à réfléchir sur le titre du roman : «comment devenir un monstre», sans que l’on ne perde de l’intérêt pour l’histoire. Celle-ci raconte la vie de François Chevalier, un avocat ennuyé de sa vie ordinaire, qui décide de partir découvrir le monde en pratiquant sa profession ailleurs, quitte à laisser sa femme et ses deux enfants derrière. Viktor Rosh, également appelé le Monstre, est l’autre personnage fondamental de l’histoire. Il est décrit comme quelqu’un dénué de mauvaises intentions, sa seule passion étant la cuisine. Cela peut sembler surprenant, puisqu’il a tué un homme et qu’il est accusé d’avoir assassiné une petite fille. Enfin, j’apprécie ce livre et j’espère qu’il continuera à satisfaire mes espoirs.
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