Personnage que je déteste

Un personnage vous déplaît-il souverainement ?  Pourquoi ?

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[Nguyen C. 411]

Un des personnages que je déteste est Mistral. En effet, il ne semble pas avoir de la compassion envers les autres. Un de moment de l’histoire qui le prouve, c’est au moment où Manu s’est fait gravement blessé par une balle qui lui a transpercé l’articulation de sa jambe dans le chapitre 9. Manu souffrait énormément et il s’est évanoui. Viktor était resté avec lui pour le supporter, mais Mistral, quant à lui, il restait là, à le regarder. Il a même dit : « Il faut le laisser ici(…) La route est trop longue pour lui. Il va mourir au bout de son sang. » Viktor fait tout son possible afin de bloquer la sortie du sang. Mistral est un homme bien bâti, mais n’a pas d’affection pour les autres en temps de guerre. Heureusement, le cuisinier a eu la brillante idée d’aller au lac situé au Nord-Est de la ville M. et Mistral était d’accord de l’accompagner. Il avait dit que la petite ville avait une clinique. En conclusion, je n’aime pas ce personne parce qu’il n’a pas un bon caractère.

[Nael 411]

Il y a plusieurs personnages du livre que je n’ai pas beaucoup appréciés, mais je n’en mentionnerais que deux puisque les autres ont déjà été évoqués. Le premier est le «supposé» partenaire local de maître Chevalier pour la défense de Viktor Rosh, maître Cevitjc. Je dis «supposé» parce qu’on apprend au chapitre 16 qu’en réalité il travaillait sous les ordres du gouvernement dans le but de faire condamner Rosh, que l’État considérait comme la figure du Mal, de l’opposition, des rebelles (c’était donc un procès politique). Ainsi, pour parvenir à ses fins, il a voulu se débarrasser de Rosalind et de son acte d’accusation pour éviter que Rosh ne puisse s’en tirer en plaidant la folie. Si on ajoute à cela le fait que cet avocat corrompu ait uriné dans son pantalon au moment où maître Chevalier le menaçait avec le pistolet vide de Joseph pour lui soutirer ces informations, on obtient une bonne idée des justifications de la méprise qu’il suscite chez moi. Ensuite, l’autre personnage qui me déplaît n’est nul autre que Viktor Rosh lui-même. Il est vrai que je le considérais comme mon personnage favori au début du roman, mais quelques éléments que je n’avais pas soupçonnés de sa part ont alterné mon jugement. Le principal d’entre eux est une partie extrêmement marquante dans l’histoire de Rosalind : le moment où le bébé de Rosalind pleurait et où Viktor Rosh l’avait remarqué. Après s’être approché, ce dernier avait demandé la raison des larmes du bébé, et Rosalind avait répondu qu’il avait faim. Rosh s’était alors emparé du bébé, lui avait tranché le cou, puis l’avait rendu à Rosalind en affirmant que son enfant n’avait plus faim. Cet acte, dénué de toute humanité, constitue à lui seul un argument largement suffisant pour détester le personnage qui l’a commis. Enfin, c’est l’ensemble de tous les évènements que j’ai mentionnés qui explique que les personnages de maître Cevitcj et de Viktor Rosh me déplaisent.

[lamarchemc]

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[Bachaalani410]

Lors de ma lecture, je lisais la partie du chapitre sept où Andreï, le fils de Manu, avait volé du sucre de l'armée gouvernementale. Un sergent ordonne à un soldat de tirer Andreï. Le personnage que je déteste est le sergent. Comment un être humain a-t-il la force de tuer un innocent enfant ? A-t-il perdu sa raison ? N'a-t-il pas d'enfants ? Je ne comprend pas comment un homme peut commetre ce geste. Sous la pression, le soldat craqua et tira le petit enfant, qui mourrut par la suite. Sans rien dire, d'un mouvement hypocrite et banal, le sergent repartie comme si rien n'était. Je le déteste du fond de mon coeur. Je rescend de la compassion pour le soldat qui a littéralement était forcer d'assassiner un jeune et innocent enfant. Après l'acte, il n'arrivait même pas à croire ce qu'il venait de commetre, comme le site ce passage: «Le soldat qui a tiré est resté à son poste, carabine en bandoulière, et ses épaules tressautent comme s'il sanglotait. Mais il regarde ailleurs». Quel honte, le sergent devrait avoir honte de lui, mais cet personne est tellement froide et égoiste que pour lui, ce geste était normal. Voilà pourquoi je déteste ce personnage, une personne cruelle et sans remords, moi, je n'aime pas ça !

[ZHANG Xia, 409]

Je n’aime pas beaucoup le personnage de Maria, mais je ne le déteste pas non plus. Tout au long du roman, jusqu’à maintenant, je l’aimais bien. Je me sentais mal pour elle, pour tout ce qu’elle avait vécu dans sa vie. Le fait qu’elle doit être la maîtresse du patron pour pouvoir survivre m’a beaucoup touché. De plus, quand elle disait à l’avocat qu’elle n’avait rien d’autre que la beauté et le charme, j’ai eu beaucoup de peine pour elle. J’ai pu voir comment une belle personne de l’extérieur peut souffrir à l’intérieur. Cependant, cette semaine, j’ai commencé à moins l’apprécier à cause de ce qu’elle a fait à Viktor. En effet, même avant la guerre, j’ai pu comprendre en lisant,qu’elle avait un peu de sentiment pour Viktor, puisque celui-ci était très attentionné envers elle. C’est pour cela qu’elle avait accepté d’avoir des relations sexuelles avec lui. Cependant, le lendemain, elle n’était plus là, elle était partie, sans rien dire à Viktor Rosh. Déjà à ce moment-là, je commençais à moins l’apprécier. Ensuite, dans le passage que j’ai lu cette semaine, Viktor revoit Maria au bord du lac où lui et Mistral sont allés pour soigner Manu. Viktor a réagit d’une façon très froide en la voyant (il n’a rien dit), et je le comprends. Comme il le dit : « Croyait-elle que j’allais l’accueillir à bras ouverts? ». Elle s’attendait à ce que Viktor l’aime encore après qu’elle est partie en le laissant tout seul derrière? C’est pour cela que je la trouve très irresponsable. Elle part quand elle décide de le faire, et réapparaît quand elle le veut. Contrairement à avant, je crois que je suis contente maintenant que Viktor n’a pas été avec elle trop longtemps.

-ZHANG Xia, 409